- décalcomanie
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• 1840; de décalquer et -manie♦ Procédé par lequel on transporte sur une surface à décorer des images dessinées sur un support de papier. Faire de la décalcomanie. — Par ext. Ces images. ⇒ transfert.décalcomanien. f. Procédé de décoration par report de figures ou de motifs qui se détachent d'un papier que l'on applique sur l'objet à décorer. Porcelaines décorées par décalcomanie.— Album de décalcomanies pour les enfants.— Par méton. Image appliquée par ce procédé.⇒DÉCALCOMANIE, subst. fém.Procédé permettant de reporter et de faire adhérer des images sur un support lisse tel que du verre, de la porcelaine, du papier, etc. Je regarde Suzanne qui joue à la décalcomanie, au bout de la table (DUHAMEL, Terre promise, 1934, p. 213).— P. méton. Image destinée à être reportée sur un support par ce procédé. Un cahier de décalcomanies (COLETTE, Mais. Cl., 1922, p. 275).Prononc. et Orth. :[
]. Ds Ac. 1932. Étymol. et Hist. Ca 1862 [ca 1850 d'apr. GAY] (d'apr. Lar. 19e). Dér. du rad. verbal de décalquer; suff. -manie. Fréq. abs. littér. :7.
décalcomanie [dekalkɔmani] n. f.ÉTYM. 1840; de décalquer, et -manie.❖♦ Procédé par lequel on transporte sur une surface à décorer des images dessinées sur un support de papier. — Par métonymie. L'image que l'on transporte; cette image une fois appliquée sur la surface à décorer.1 (…) elle avait tant aimé, enfant, les mystérieuses décalcomanies que Germaine lui achetait (…)F. Mallet-Joris, le Jeu du souterrain, p. 176.2 Bernard fume assis près du pont il a sa lampe de poche décorée de dragons en décalcomanie.Tony Duvert, Paysage de fantaisie, p. 129.
Encyclopédie Universelle. 2012.